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Lief Nyugard
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Lief Nyugard
38 ansHommeMarié
Fief de NyugardMaître d’armes (et duc)
"Make yourself a sheep and the wolf will eat you."
apparence
Vous l’aurez compris : Lief ne dégage aucune aura de noblesse, alors il fait toujours tache dans les soirées mondaines ennuyantes. Il est soldat avant tout et rien ne le fera changer, peu importe le nombre de titres que l’on pourra lui donner. Il se tient comme un guerrier, il marche comme un guerrier, il toise comme un guerrier, il parle comme… Enfin, non, son vocabulaire n’est pas si terrible, mais ce n’est pas non plus un poète.
Il garde toujours son épée sur lui, prête à être dégainée pour le devoir ou pour le plaisir. Quant à son style vestimentaire, il est plutôt léger – selon les critères de North Odin du moins. Tout le monde lui dit tout le temps qu’il devrait se couvrir davantage, mais monsieur n’en ressent pas le besoin. Mourir de froid, c’est nul, mais crever de chaud, ce n’est pas mieux ! Au pire, un bon petit combat suffira à le réchauffer …
On ignore l’avis des autres pays, mais toujours selon les critères de North Odin, Lief est considéré comme étant plutôt bel homme. Le problème, c’est que son cerveau est tout bonnement incapable d’assimiler le fait que non, ceux qui le complimentent ne le font pas par simple politesse et que non, ce n’est pas à cause de la température hivernale si les femmes rougissent devant lui. Peut-être serait-il encore plus charmant s’il souriait davantage, à moins que les gens préfèrent les grands bruns ténébreux aux visages fermés ?… Enfin, ce n’est pas comme si sourire lui était inconnu, hein ! Il a des sourires doux pour sa femme, des sourires fiers pour ses enfants et ses élèves, des sourires agacés quand on l’énerve, des sourires excités quand les combats sont passionnants, et … c’est pas mal ça.
Son œil droit inexistant n’est pas sa seule blessure; son corps est parsemé de cicatrices plus ou moins grandes. Bien qu’aucune ne l’empêche d’être efficace, elles sont toutes des preuves de sa lutte acharnée contre ceux et celles qui osent se mettre au travers de son chemin. Même si le sang des Nyugard ne coule pas dans ses veines, lorsqu’il fixe ses proies avec une haine non dissimulée, on ne peut nier qu’il mérite de porter leur nom.
informations générales
Reconnu pour son style de combat très brutal et physique (prises, coups de poings, pieds, coudes, genoux …) • A de solides bases à la hache et à la lance • Ambidextre (après de longues années d’apprentissage) • A une excellente vision dans son unique œil, mais vise comme un pied à cause de sa perception de la profondeur pitoyable • Piètre chasseur du coup • Fait des tâches ménagères pour se détendre (même si c’est supposément indigne de son rang) • Excellent cuisinier (même si, encore une fois, c’est supposément indigne de son rang) • Son autre passe-temps est de provoquer des inconnus en duel • S’emballe un peu trop à chaque fois qu’il affronte un adversaire digne de ce nom • N’a jamais gagné une compétition de beuverie contre sa femme • Dans les endroits bondés, il bouscule souvent les gens sur sa droite; pas parce qu’il est impoli, mais parce qu’il ne les voit pas • Aurait aimé avoir l’emblème Mentor • Les domestiques l’adorent • Les jeunes femmes recrues ont souvent le béguin pour lui (même s’il ne capte rien) • Préfère les chiens aux chats • Aurait pu faire un bon Capitaine de la Tempérance • C’est son épouse qui lui a appris à danser • Son corps est une véritable fournaise, alors il n’a pas souvent froid • On dit qu’il est l’alpha de toutes les meutes de loups de la région • Plusieurs rumeurs circulent à propos de la façon dont il a perdu son œil • Invente une histoire différente à chaque fois parce que cela l’amuse • Ceux qui attaquent seulement à distance sont des faibles et des lâches
- Ton pseudo : Votre duc préféré
- Âge : 24 ans
- Comment as-tu connu le forum ? : DC de Yu-Seong
- Ce que tu en penses ? : Le forum et sa communauté sont vraiment chouettes, merci pour tout ce que vous faites !
- Autres choses à rajouter ? : Barbara mérite le trône, donnez-lui.
- Code règlement : Validé par la Déesse ♡
caractère
Il aime se battre, s’entraîner et enseigner l’art de la guerre à ses recrues. Il aime cuisiner pour sa famille et essayer de nouvelles recettes. Mine de rien, il aime jouer avec les chiens errants de la ville. Il aime sa femme et passer du temps avec elle – surtout juste tous les deux. Il aime également ses enfants et constater lui-même leurs progrès. Il adore son pays avec ses conditions difficiles qui favorisent la naissance de puissants guerriers. Il aime affronter de bons combattants et apprendre de nouvelles techniques, il aime s’améliorer en tant que tel. Surtout, il apprécie le calme, le silence et les moments de solitude.
Et… c’est à peu près tout.
Il y a sûrement plus de choses qu’il déteste, comme avoir quelqu’un sur sa droite – sauf si c’est une personne de confiance. Il déteste participer aux parties de chasse puisqu’il sait pertinemment qu’il sera un boulet. Il n’aime pas perdre son temps et avoir l’impression de stagner. Se faire traiter comme un grand aristocrate important le met mal à l’aise. Les gens trop bavards l’ennuient. Le brouhaha des grandes soirées l’irrite. Être obligé de socialiser l’épuise. Bref, la vie de noble tout court lui déplaît. Il déteste ceux qui manquent de respect à sa reine et ses héritiers. Il soupire face aux petits prétentieux qui aboient beaucoup mais qui ne mordent jamais. Il abhorre Bertrade Lodowic, l’Odin actuel, mais il a encore moins de respect pour les autres membres de la famille Nyugard; la plupart sont juste des larves qui se plaignent de leur sort alors qu’ils sont tout simplement trop faibles pour régner.
Si sa femme ne l’est pas, alors lui non plus.
Et puis, quelqu’un qui se contente de ce qu’il a ne pourra jamais évoluer.
La réponse facile serait "J’aimerais avoir deux yeux", mais ce serait mentir. Certes, ce serait plus pratique, mais il ne changerait pas le passé pour ça; c’est la perte de son œil qui l’a motivé à toujours se surpasser. Qui sait ? S’il n’avait pas été borgne, peut-être serait-il resté un faiblard et qu’il n’aurait jamais eu la chance de marier cette incroyable dame qu’est Barbara.
La vraie réponse, c’est qu’il aurait dû en faire plus pour sa femme lors du dernier tournoi. Il aurait dû être un meilleur partenaire d’entraînement … En fait, elle n’aurait pas dû s’entraîner avec lui du tout. Et il aurait dû s’arranger pour qu’elle ne tombe pas enceinte au mauvais moment. Les bébés, ça se fait à deux, vous savez.
Mais c’est inutile de ressasser le passé. Ils n’échoueront pas une deuxième fois.
Partage. Il ne voit pas l’intérêt d’amasser une tonne de connaissances si ce n’est pas pour les transmettre par la suite. Peut-être est-ce son âme de professeur qui parle, mais voir ses élèves s’améliorer de jour en jour est l’une des seules choses qui lui donne le sourire dans ce monde glacial. Également, une nation forte est une nation qui s’améliore de génération en génération. C’est uniquement possible si les plus vieux prennent le temps d’enseigner aux jeunes toutes leurs techniques et leur savoir-faire.
Persévérance. S’il est devenu aussi fort, ce n’est pas grâce à un talent particulier ou à un génie quelconque. Sa puissance et son intellect, il les doit seulement à ses efforts continus. Études, entraînements, études, entraînements … En solo ou en groupe, en plein jour ou au milieu de la nuit, Lief donne toujours le meilleur de lui-même et s’attend à ce que les autres en fassent de même.
Passion. Étrange venant de quelqu’un d’aussi calme, et pourtant ! La passion va de pair avec la persévérance; elle est le moteur qui pousse les gens à essayer encore et encore jusqu’à ce que leur but soit atteint. Lief aura plus de respect pour un débutant maladroit mais enthousiaste que pour un vétéran habile mais ennuyeux. Quel intérêt s’il ne ressent pas l’ambition de son adversaire dans chacun de ses coups ?
Passivité. Il n’a que du mépris pour ceux qui regardent les minutes s’écouler sans chercher à accomplir quoi que ce soit. Certes, ce ne sont pas toutes les vies qui se valent; par exemple, la sienne est insignifiante comparée à celles de sa femme et ses enfants – du moins de son point de vue. Est-ce qu’il baisse les bras pour autant ? Bien sûr que non ! Même le plus petit des lapins peut laisser une trace dans la neige, alors pourquoi y a-t-il tant de personnes gaspillant leur temps ?! Ils pourraient au moins essayer de se rendre un minimum utiles …
Pacifisme. Certes, Lief n’est pas particulièrement belliqueux. Certes, si une solution pacifique existe, c’est celle-ci qu’il proposera. Néanmoins, ceux qui évitent toujours les conflits et qui se laissent piétiner par peur de déplaire sont pathétiques. Si quelqu’un n’est pas prêt à prendre les armes pour défendre ses convictions, alors celles-ci ne sont pas aussi fortes qu’il le croit. Et puis, une trop longue paix, cela risque de ramollir les soldats …
Pitié. Il n’y a rien de plus insultant pour un guerrier que de se faire traiter avec pitié. Lief préférerait plutôt mourir que de se faire épargner; c’est tout dire ! Du coup, il achève presque toujours ses adversaires lors des affrontements sérieux. C’est plus respectueux et prudent. Si ses ennemis meurent, ils ne pourront pas chercher à se venger, n’est-ce pas ? Quelque chose que cette foutue Lodowic apprendra à ses dépens.
Si on oublie le côté politique, Lief est très fier de son pays : c’est le berceau de tous les meilleurs guerriers du continent ! Il ne serait jamais devenu un homme aussi grand et fort s’il était né dans un endroit plus doux et paisible – genre Nuhoko. Vraiment, il n’y a rien de plus beau que les interminables plaines enneigées, les colonnes de fumée sortant des chaumières, les gros flocons de neige qui émerveillent les enfants … Les petites natures frileuses ne savent pas ce qu’elles manquent.
En toute franchise, Lief ne trouve pas que le Tournoi des Souverains soit une mauvaise chose; il est normal que le chef soit le plus fort. Or, cette façon de faire ne favorise pas l’unité. Les perdants se sentiront éternellement amers et auront pour toujours l’impression d’avoir été volés – que ce soit justifié ou non. Si c’était plutôt une seule famille qui régnait, il y aurait au moins une bannière éternelle sous laquelle se réunir … Actuellement, on risque de se retrouver avec une nation divisée par des groupes clamant qu’un tel plus qu’un autre aurait dû gagner et… Bon, d’accord ! S’il n’aime pas le tournoi, c’est surtout parce que Barbara veut s’en débarrasser … Et Lief déteste Bertrade pour avoir fait pleurer son épouse, alors ne vous attendez pas à une opinion objective de sa part.
Oui, il y a de la dissonance cognitive dans l’air. On peut passer à la prochaine question ?
« Le Cyclope de Nyugard » à cause de son œil unique et de sa grande taille. Mais il est surtout connu comme étant le « Loup de la Reine », car lorsqu’il se tient derrière elle, le dos légèrement voûté et le regard perçant, on croirait voir un loup prêt à bondir. Les mauvaises langues l’appelleront plutôt le « Chien des Nyugard » ou des trucs du genre soi-disant parce qu’il est trop soumis, mais ces imbéciles rigoleraient moins si le toutou en question décidait de les mordre.
Il a surtout peur de perdre son œil restant. S’il perdait la vue pour de bon, il n’aurait plus aucune utilité pour sa femme. Parlant d’elle, il a évidemment peur de la perdre aussi. Peur de la décevoir. Peur d’être incapable de tenir sa promesse. Peur qu’elle se sacrifie pour lui alors que cela devrait être son rôle de mourir pour elle. Peur d’être devenu son point faible. Ah, et il ne voudrait pas perdre ses enfants non plus, bien que s’il devait choisir entre eux et Barbara, c’est cette dernière qu’il sauverait. Ce ne serait pas le choix le plus stratégique, certes, mais il n’y peut rien. Ne le dîtes surtout pas à sa compagne par contre; pas certain qu’elle apprécierait …
Enfin, il n’est pas très friand des batailles de boules de neige ou toute autre activité consistant à lancer des projectiles sur le visage de quelqu’un. Il emmerde les archers soit dit en passant.
Même s’il croit en la Déesse (comme à peu près tout le monde), il n’est pas très pratiquant. Prier pendant des heures dans l’espoir d’une intervention divine ? Merci, mais non merci; il préfère créer sa propre chance.
Même s’il le considère comme étant le Mal absolu (comme à peu près tout le monde), il ne lui porte pas trop attention. Vendre son âme pour gagner en puissance ? Merci, mais non merci; il préfère créer sa propre ch… Attendez, on se répète un peu là, non ?
C’est une bande de traîtres, voilà tout. Pourquoi ne servent-ils pas leur propre pays ?! Quel répugnant manque de loyauté … Si vous, Chevaliers, osez mettre un pied sur le territoire du loup, priez pour ne pas croiser sa route; il vous expulsera de gré ou de force. Surtout de force. Vous êtes prévenus.
La seule chose positive que Lief trouverait à dire à propos de l’Ordre, ce serait : « J’aime leur costume. » Lui-même porte souvent du bleu et du blanc.
S’il voyage dans les autres pays, c’est uniquement pour étudier leurs techniques militaires (et culinaires) afin de rapporter ses observations chez lui. Bon, et il se déplace aussi pour les rencontres diplomatiques que sa femme ne veut pas faire – c’est-à-dire presque toutes. Mais s’il fallait préciser davantage ses pensées …
L’Empire de Nuhoko ? Lief accompagne parfois Barbara aux sources chaudes; il est forcé d’admettre qu’il n’y a rien de mieux pour détendre ses muscles. L’Impératrice et ses sujets par contre … Il les trouve tous trop faibles, autant de corps que d’esprit.
Les Terres de Babel ? Il ne peut pas dire qu’il comprend leur engouement pour les arts et les inventions bizarres. Enfin, cela semble être le pays que sa femme déteste le moins, donc bon …
Le Royaume du Pharaon ? Ses habitants sont leurs ennemis de toujours et Lief doute que cette nouvelle paix y changera quoi que ce soit. Et l’esclavage, c’est lâche, autant pour le maître que pour l’esclave.
Les rêves de sa femme sont les siens. Elle désire le trône ? Il va le lui donner et s’assurer qu’elle y reste. Lief ne veut voir personne d’autre recevoir le titre d’Odin avant elle. Pas un autre Nyugard. Pas même l’un de ses enfants. Il faut absolument que ce soit Barbara.
Il lui a fait une promesse… et il n’a qu’une parole.
Histoire
An -38 à -30 // 0 à 8 ans
La famille Gunnulf, vassale des Nyugard. Leur histoire remonte à loin, certains disent même qu’ils étaient déjà présents lors de la création du Domaine de North Odin. Si c’est vrai ou non, aucune idée; toujours est-il que les membres de cette famille ont toujours été d’une fidélité irréprochable envers les Nyugard, et ce même après la chute de ces derniers. En fait, ce n’est même plus de la fidélité : c’est carrément de la dévotion aveugle. Les Gunnulf se voient comme des outils, des armes pour les souverains légitimes de North Odin. En somme, il y a une bonne ambiance bien étouffante dans cette famille.
C’est au milieu de ce fanatisme que naquit Lief Gunnulf, le 4 Altaïr de l’an -38. Ce nom lui a été donné non pas en l’honneur du deuxième Odin, mais par respect pour le fidèle ami du premier. Sûrement ses parents espéraient-ils que leur fils soit aussi loyal que cette figure historique.
Entouré de plusieurs grands frères, d’autres suivront après lui; il n’y avait presque que des garçons dans cette famille de tarés. Enfant du milieu, on ne lui portait pas d’attention particulière. Lief se contentait de suivre le même chemin que le reste de sa fratrie, affûté dès son plus jeune âge afin qu’il devienne une bonne lame pour les Nyugard. Ne connaissant rien d’autre, il se pliait à ce mode de vie austère sans jamais rechigner.
An -30 // 8 ans
Les enfants ne jouaient pas souvent, mais pour une fois, en cette belle fin d’année, ils s’étaient réunis à l’extérieur. Les étoiles s’étaient alignées pour eux : leurs parents rendaient visite à la famille ducale et leurs professeurs étaient tous absents pour une raison ou pour une autre. D’abord confus, ils eurent finalement la brillante idée de se taper dessus pour le plaisir – c’était tout ce qu’ils savaient faire de toute façon. Une bataille de boules de neige fut organisée et les équipes furent dissoutes aussi rapidement qu’elles avaient été formées; c’était chacun pour soi dans cette famille.
L’esprit de compétition de chaque enfant brillait de mille feux, tous essayaient de se démarquer. Ce jeu devenait de plus en plus intense, de plus en plus violent. Certains commençaient à mélanger neige et glace afin que leurs balles fassent davantage de dégâts. Au bout d’un moment, les plus jeunes décidèrent de se retirer de la compétition, écœurés. Ils avaient clairement un meilleur instinct de conservation que Lief qui s’obstinait même s’il n’avait pas l’avantage. Puis, ce fut le drame.
Une boule de neige glacée s’écrasa sur son visage. En plein dans son œil droit. Le garçon perdit l’équilibre et tomba. Ça faisait mal, ça faisait mal, ça faisait tellement mal ! Ses cris de douleur ne furent pris au sérieux que lorsque les autres réalisèrent que leur frère ne se relevait pas. La panique gagna peu à peu le petit groupe. Traîné à l’intérieur par les plus vieux, ils cherchaient un adulte, quelqu’un, n’importe qui pour les aider ! Quand le médecin se pointa enfin et qu’il examina la victime, il soupira en secouant la tête. Le diagnostic était clair : il n’y avait rien à faire pour cet œil mutilé… à part le lui retirer bien sûr, car à quoi bon garder quelque chose qui ne fonctionne plus, hein ?
An -31 à -25 // 9 à 13 ans
Un outil cassé. Une lame brisée. Voilà ce que Lief était pour ses parents : une déception. Avec un œil en moins, le gamin était devenu extrêmement maladroit. Incapable de suivre ses entraînements, incapable de se déplacer sans se cogner partout, incapable d’attraper quoi que ce soit sans tout renverser … Ah, ce n’était pas avec cet enfant que les Gunnulf rendront fiers les Nyugard ! Sa fratrie aussi se mit à l’ignorer, réalisant que c’était une aubaine pour eux : cela faisait un compétiteur de moins. C’était génial, non ?
Seul. Lief se sentait seul, si seul. Il aurait pu mourir et tout le monde s’en serait moqué. Il n’avait même pas 10 ans que déjà, il sentait la frustration montée dans son petit corps. Sûrement se serait-il noyé dans ses larmes de rage si cette douce femme ne lui avait pas tendu la main. Domestique faisant preuve d’une empathie rare dans cette maison de fous, elle proposa au garçon de l’aider dans ses tâches ménagères dans l’espoir que cela lui permettra de retrouver sa dextérité. Étant en recherche désespérée d’attention, Lief accepta sans aucune hésitation. Au début, sa famille se fichait un peu sa gueule; qu’un fils de noble s’abaisse à laver le plancher et à dresser la table, non mais quelle blague ! Puis ils l’ignorèrent de nouveau. Grave erreur.
Au fil des semaines, au fil des mois, l’enfant s’améliorait et reprenait confiance en lui. Même si on ne lui portait plus aucune attention, il reprit son entraînement, solitaire. Il fouettait l’air de son épée, de sa hache, de sa lance, peu importe ! Il tapait rageusement sur les mannequins de sa main droite, de sa main gauche, des deux, on s’en moque ! Sans jamais être dérangé par qui que ce soit, il affinait sa technique jour et nuit.
Le maître d’armes fut le premier à remarquer l’amélioration du rejet de la famille; il lui proposa même de le reprendre comme élève. À partir de ce moment, les progrès de Lief furent fulgurants. Il ne se plaignait jamais, n’abandonnait jamais; sûrement le meilleur étudiant que le vieil homme avait eu de toute sa carrière. La jalousie gagna peu à peu ses frères lorsqu’ils réalisèrent que leur frérot était revenu en force dans la course, mais ils ne pouvaient rien faire à part goûter sa poussière. Il voulait les surpasser, il allait les surpasser, il les avait surpassés. Uniquement motivé par sa colère.
An -24 // 14 ans
Ses parents – les mêmes qui l’avaient jeté comme un déchet – étaient soudainement très fiers de leur fils. Bande de sales hypocrites; il les détestait. Tout d’un coup, il était la fierté de sa famille; il les détestait tous. Du jour au lendemain, on le présentait comme étant l’arme parfaite pour les Nyugard; il les détestait encore plus. Bref, Lief était un adolescent en colère contre le monde entier.
Il ne voulait pas être vu comme un simple objet remplaçable. Il ne voulait pas aider cette bande de faiblards qu’étaient les Nyugard. Il voulait juste … Que voulait-il en fait ? Il était devenu fort afin de prouver à tous qu’ils avaient eu tort de l’ignorer, mais maintenant que toute l’attention était braquée sur lui, sa colère ne faisait que croître. Il se sentait encore mal, si mal …
Il fonçait droit dans un mur.
Un beau jour, on lui annonça qu’il allait épouser une fille de la branche principale des Nyugard. C’était un énorme honneur pour la famille Gunnulf ! Bien sûr, Lief n’en avait rien à foutre, or même un ado frustré comme lui ne pouvait aller contre cet arrangement. À coup sûr, il allait tomber sur une mauviette superficielle qui le jugera pour son cache-œil – après tout, il fallait être nul pour être déjà borgne à 14 ans, n’est-ce pas ? Il s’attendait à ce que ce soit leur unique rencontre, qu’elle supplie à ses parents de la marier à quelqu’un d’autre. Ce ne serait pas plus mal.
Finalement, le garçon fut agréablement surpris.
Bien que Barbara était un peu plus jeune que lui, elle brillait… tellement. Si Lief était un feu se consumant lui-même, elle était un brasier étendant ses flammes toujours plus loin. Elle était fière, indépendante, intelligente … Mais lui était têtu, alors il lui en fallait davantage pour se convaincre que cette union n’était pas si mauvaise. Il la provoqua donc en duel, comme ça, dès leur première rencontre. La violence étant sa langue maternelle, un bon combat lui permettrait de saisir la personnalité de sa fiancée mieux que n’importe quelle conversation.
Ce fut le meilleur affrontement de toute sa vie. Aujourd’hui encore, il se remémore ce moment avec le sourire.
Les deux jeunes gens mirent fin au combat avant que l’un d’eux ne finisse à l’infirmerie. Même des heures après le duel, les mains de Lief continuaient à trembler; pas de peur, mais d’excitation. Barbara luttait pour réaliser sa vision, se battait pour un but précis. Son ambition était si grande qu’elle avait étouffé le Gunnulf alors que la jeune demoiselle lui rendait coup pour coup.
Alors c’était ça d’avoir un rêve ?
An -23 à -22 // 15 à 16 ans
Cette première rencontre avec Barbara avait grandement apaisé le cœur meurtri de l’adolescent; son attention était enfin portée sur autre chose que sa propre petite personne (enfin, pas si petite, il était déjà très grand pour son âge). Par contre, cela prit du temps avant qu’il réalise que sa fiancée ne le voyait pas comme un outil … Il n’était pas habitué à se faire traiter comme un être humain, bon, d’accord ?! Il n’avait pas fait exprès d’ignorer ses avances !
Cette Nyugard lui donnait envie d’en faire encore plus. Lui qui avait négligé ses études tellement il avait été obsédé par l’idée de retrouver sa dextérité et de gagner en puissance, il décida de fourrer son nez dans tous les ouvrages qui entraient dans son champ de vision. Il demandait même l’avis de Barbara lorsqu’il tombait sur des passages nébuleux; cela lui donnait une excuse pour la voir plus souvent.
Cela leur arrivait également de s’entraîner ensemble. Peu à peu, le garçon commença à s’ouvrir et à partager ses trucs et astuces afin qu’elle brille davantage – comme si elle n’était pas déjà assez éblouissante ! C’était bizarre. Maintenant qu’il désirait aider une personne autre que lui même, il avait l’impression d’être encore plus efficace qu’avant … Était-ce donc ça, vivre pour quelqu’un ? Les principes de la famille Gunnulf faisaient de plus en plus de sens, mais Lief ne comptait pas plier pour autant. Il allait se donner corps et âme, mais ce sera pour cette Nyugard uniquement. Il allait se rendre le plus utile possible, mais ce sera en tant qu’être humain pensant, et non en tant qu’outil sans cervelle.
Lentement mais sûrement, les sentiments de développaient, mûrissaient. L’admiration enfantine se transforma en un amour adulte. Le soir de leur mariage, dans la suite nuptiale à l’abri des regards, Lief lui fit la promesse solennelle de l’aider à obtenir le titre d’Odin. Coûte que coûte.
N’en déplaise à certains, le nouveau marié prit même le nom de famille de sa femme, celui des Nyugard. Bien qu’il ne possédait ni leur sang ni leur tendance à se victimiser, il partageait désormais leur ambition.
An -21 à -19 // 17 à 19 ans
Les vieux diront que le mariage est quelque chose d’étouffant, mais Lief n’était pas d’accord; il avait enfin l’impression de respirer ! L’époux respectait son épouse, l’épouse respectait son époux. Ces deux jeunots s’harmonisaient étonnamment bien. C’était grâce à la femme que le mari s’épanouissait enfin, alors en échange, il la soutenait autant que possible.
Oh, et Lief avait invité la gentille domestique – celle qui lui avait sauvé la vie – à le suivre dans sa nouvelle demeure. Quant au reste de sa famille, il ne voulait même plus en entendre parler … Même si eux continuaient à vanter les prouesses de leur fils digne d’une Nyugard.
Les jeunes mariés commençaient à bien se connaître, au point où Lief fut le premier à remarquer que quelque chose clochait. Et il fut le premier à comprendre quel était le "problème" exactement : Barbara était tombée enceinte. Et il fut celui qui la convainquit de ralentir le rythme. Et il fut celui qui veilla à ce que personne ne l’amoche pendant les entraînements (il aurait tué les coupables lui-même). Quand les cuisiniers dépassés ne surent plus quels plats préparer pour la future maman, le futur papa prit la relève. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas été derrière les fourneaux, mais maintenant qu’il mélangeait les ingrédients pour une raison autre que sa réhabilitation, il réalisa que… bah il aimait bien ça. Sans jamais se décourager lorsque Barbara rejetait ses mets, Lief s’acharna jusqu’à trouver une liste de repas qu’elle était capable d’avaler.
Même si franchement, il ne réalisait pas encore qu’il allait devenir père. Peut-être étaient-ils encore trop jeunes et immatures pour une telle responsabilité.
Même après l’accouchement, il avait du mal à s’y faire; si sa femme eut le coup de foudre, ce ne fut pas son cas. Il ignorait comment s’y prendre avec ce bébé.
An -18 // 20 ans
Quel soulagement que ce soit les nourrices qui s’occupent de l’enfant ! Ainsi, Lief pouvait se concentrer sur Barbara et… tout le reste. Les yeux de son épouse étant rivés sur le tournoi, Lief apprit à gérer ce qu’elle gérait d’habitude. Peut-être n’était-il pas un meneur naturel comme sa dame, il y mettait tellement d’efforts que personne n’avait rien à redire. Il se gardait aussi du temps pour aider sa femme lors de ses entraînements; il lui apprenait des choses et elle lui en apprenait également. Il aimait cette dynamique.
An -17 // 21 ans
Barbara se débrouillait bien.
Le Tournoi des Souverains était en cours. Assis dans les estrades, Lief observait chaque affrontement, jugeait chaque guerrier, admirait sa femme lorsque c’était son tour. Il n’était pas trop inquiet.
Du moins, jusqu’à la finale.
Les sourcils froncés, son œil suivant chaque mouvement avec attention, Lief n’était plus si confiant. Cette Bertrade Lodowic était douée, même qu’elle semblait avoir un léger avantage sur Barbara. Barbara … C’était peut-être à cause de l’inquiétude, mais son mari ne voyait plus que ses erreurs techniques. En fait, c’en était une en particulier qui retenait son attention.
Il avait l’impression qu’elle frappait trop souvent sur la droite de son adversaire. Il réalisa que c’était sa faute.
À force de s’entraîner avec lui, elle avait pris de mauvais plis. Puisqu’il était aveuglé du côté droit, c’était normal qu’elle y concentre ses attaques. Si c’était une stratégie efficace contre un borgne, ce n’était toutefois pas le cas contre n’importe qui d’autre; cela la rendait prévisible. Non, non, non !…
Lorsque l’épée de Barbara se fracassa, Lief se leva d’un seul coup au milieu de la foule en délire. Livide.
Il n’avait pas pu tenir sa promesse.
An -16 à -13 // 22 à 25 ans
Lief était frustré, mais pas autant que sa femme. Puisqu’elle ne lui reprochait rien, il allait garder ses regrets pour lui.
Tel le calme après la tempête, ce fut la découverte d’un semblant de train-train quotidien pour la famille qui s’agrandissait. De plus, le père se rapprocha enfin de son aîné maintenant que celui-ci avait vieilli. D’accord, il ne savait toujours pas comment s’y prendre avec les bébés, mais avec un bambin doué de parole, c’était autre chose ! La communication était plus claire et… il avait fini par s’attendrir.
Puisque Barbara avait repris les rênes du domaine, Lief s’occupa ailleurs. Traînant souvent avec les soldats, il se mit naturellement à conseiller les plus inexpérimentés. Puis il trouva du temps dans son horaire afin d’échanger quelques coups avec eux. Puis cela se transforma en véritables séances d’entraînement. Il prenait ses engagements très au sérieux, peut-être pour se racheter d’avoir été un mauvais partenaire pour sa femme avant le tournoi.
Que mentionner d’autre ? Ah, oui ! Lorsque sa femme lui racontait ce qu’elle avait fait subir au dernier assassin ayant attenté à sa vie, Lief se contentait de hausser les épaules, beaucoup plus amusé qu’inquiet. Cela arrivait souvent que des petits comiques tentent d’éliminer la duchesse; faut croire qu’elle n’était pas trop populaire. Plusieurs avaient peur d’elle, et ils faisaient bien ! Certains imbéciles crurent que le mari serait une proie plus facile, alors ils se mirent à le prendre aussi pour cible. Évidemment, ils se trompaient et ils comprenaient trop tard que comme la Reine, le Loup n’avait aucune pitié pour les sous-êtres de leur espèce.
Tous apprendront à craindre de nouveau le nom des Nyugard.
An -7 // 31 ans
Lief ne relâchait jamais ses efforts. Peu importe le temps que cela prendra, il comptait respecter la promesse qu’il avait faite à sa femme le jour de leur mariage.
Barbara s’occupait de ses dignes héritiers, lui des soldats ordinaires. Barbara brillait de mille feux, lui restait dans son ombre. Barbara était appelée « Reine », lui n’était même pas vu comme un roi.
C’était normal. Cela ne le dérangeait pas. Peut-être que toute la propagande de son enfance était plus ancrée en lui qu’il le croyait, mais il s’en fichait. Qu’ils le traitent de chien s’ils le voulaient; ils ne connaissaient rien à sa vie. Ils ignoraient que leur duc "soumis" était le garde-fou de leur très chère reine. Ils ignoraient tous les conseils qu’il lui prodiguait loin des regards. Ils ignoraient toutes les mauvaises décisions qu’il lui avait empêché de prendre. Ils ignoraient qu’il était le seul capable de se tenir devant elle sans trembler lorsqu’elle était enragée.
Mais c’était très bien comme ça. Ainsi, ils n’avaient de yeux que pour Barbara. C’était le plus important.
An 0 à début de l’an 1 // 38 ans
Cela n’arrivait pas souvent, mais cette fois, Lief était vraiment furieux.
Plusieurs soldats de North Odin avaient décidé de s’enrôler dans ce nouvel Ordre Stupide des Chevaliers. Le plus gros affront cependant, c’était que certains de ces soldats étaient SES soldats. Des hommes et des femmes qu’il avait personnellement entraînés, et tout ça pour quoi ?! Aux yeux (ou plutôt à l’œil) de leur maître d’armes, c’était un acte de trahison envers leur reine légitime. Vraiment, leur décision était incompréhensible pour quelqu’un d’aussi fidèle et attaché que lui … Une chose était sûre : si ces enfoirés de traîtres osaient remettre un pied ici, le loup allait les dévorer personnellement.
Ah, et pareil pour ces groupuscules qui commençaient à faire parler d’eux. Lief n’avait aucune patience pour ces bêtises; hors de question de prendre le risque de voir Barbara se faire lâchement assassiner avant d’atteindre son but … Même si jusqu’à présent, tous les agresseurs avaient lamentablement échoué.
Bref, cette paix, elle commençait mal. Ils auraient pu s’en passer.
Il n’y avait pas que de mauvaises nouvelles toutefois; ses enfants avaient bien grandi, sa femme était toujours aussi belle et forte, et lui toujours aussi loyal et acharné. Ce n’était qu’une question de temps avant que cette cellule de la famille Nyugard reprenne ce qu’il leur revenait de droit : le trône d’Odin.
Il avait une promesse à tenir.
- Domaine de North Odin
- Partenaire : BarbaraNiveau : LV 3 EPEE (VIT)Inventaire :
Potion x2 : +10pvs
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Anti-gel : permet de soigner quelqu'un du statut gelEXP : 75/300MVT : 4RES : 7DEF : 7MAG : 10ATQ : 12HP : 28Emploi / loisirs : Maître d'armes et Ducâge du perso : 38 ansMagie ou Emblème : TerreLocalisation : Fief de NyugardIcone :
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Barbara C. Nyugard
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- Domaine de North Odin
- Partenaire : LiefNiveau : LV 3 EPEE (VIT)Citation : Comment pourrais-tu me menacer ? C'est bien connu, les morts sont dépourvus de mots.Inventaire :Potion x2 : +10pvs
Gâteau d'anniversaire : rend tous les pvs
Cheval : DEF +4 MVT +2 ont été ajoutés dans les statsAnti-gel : permet de soigner quelqu'un du statut gelEXP : 90/300MVT : 6RES : 5DEF : 11MAG : 10ATQ : 14HP : 28Emploi / loisirs : Duchesse de Nyugardâge du perso : 37Magie ou Emblème : feuLocalisation : North OdinIcone :
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Déesse Zorya
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Bienvenue à toi Lief !
Il est là, il est là, il est là, il est là, il est....
Comme je te l'ai déjà dit en MP, j'adore Lief, que ce soit par sa taille (enfin une personne que Barbara ne va pas regarder de haut par contre s'il pouvait arrêter d'avoir la côte et de se faire draguer ça l'arrangerait fin je dis ça je dis rien
) que par les petites facts (Madame Nyugard est trop douée avec l'alcool il peut pas test- | mais aussi que les jeunes femmes recrues ont souvent le béguin pour lui et qu'il capte rien avoue, il veut la faire rager le vilan | Ou encore qu'il aime les chiens alors que Barbara c'est les chats 
| Que son corps soit très chaud au contraire de sa femme, qu'elle lui ait appris à danser et.... On dit qu’il est l’alpha de toutes les meutes de loups de la région, certes peut-être MAIS à la maison, l'alpha c'est sa femme eheh) et par le caractère que j'ai tellement adoré découvrir (Le fait que l'alchimie avec sa femme soit très présente, qu'il est là pour elle, pour l'aider à accomplir son objectif et mettre le monde à feu et à- wait ça faut pas le dire, qu'il déteste la pitié et Bertrade en même temps elle a fait pleurer Barbara franchement pire crime du monde | Le fait qu'il ne soit pas vu comme un Roi mais comme un Loup ça me pince le coeur parce qu'il y en a eu qui le considère comme son égal même si elle le dit pas assez 
) aled je parle trop, c'est pas grave je continue, pour l'histoire, j'ai bien aimé les détails apportés sur sa famille, les Gunnulf. J'ai trouvé ça très pertinent et totalement en accord avec le lore que les Nyugard aient des vassaux de ce style et je promets que tous les frères de Lief vont se faire crever les yeux pour ce qu'ils ont fait sans rancune bien sûr . Le fait qu'il ait été brisé et ait dû se reconstruire, c'est très touchant et que Barbara lui ait insufflé un second souffle j'adore mais surtout la promesse qu'il lui a faite, elle aura beaucoup de poids et d'importance aux yeux de sa femme (et malgré le temps elle ne l'aura pas oublié).
Pour moi c'est un grand OUI, je suis dingue de ton personnage allez hop je valide avec l'accord du staff
puis il est vraiment très charmant Lief
je craque
tu peux dès à présent
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L'inventaire
En cadeau de bienvenue, nous t'offrons une potion et 25 écus ♡
Il est là, il est là, il est là, il est là, il est....
Comme je te l'ai déjà dit en MP, j'adore Lief, que ce soit par sa taille (enfin une personne que Barbara ne va pas regarder de haut par contre s'il pouvait arrêter d'avoir la côte et de se faire draguer ça l'arrangerait fin je dis ça je dis rien
) que par les petites facts (Madame Nyugard est trop douée avec l'alcool il peut pas test- | mais aussi que les jeunes femmes recrues ont souvent le béguin pour lui et qu'il capte rien avoue, il veut la faire rager le vilan | Ou encore qu'il aime les chiens alors que Barbara c'est les chats | Que son corps soit très chaud au contraire de sa femme, qu'elle lui ait appris à danser et.... On dit qu’il est l’alpha de toutes les meutes de loups de la région, certes peut-être MAIS à la maison, l'alpha c'est sa femme eheh) et par le caractère que j'ai tellement adoré découvrir (Le fait que l'alchimie avec sa femme soit très présente, qu'il est là pour elle, pour l'aider à accomplir son objectif ) . Le fait qu'il ait été brisé et ait dû se reconstruire, c'est très touchant et que Barbara lui ait insufflé un second souffle Pour moi c'est un grand OUI, je suis dingue de ton personnage allez hop je valide avec l'accord du staff
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- Déesse
- Partenaire : NameNiveau : LV 99 ArmeCitation : «Les chroniques de l'histoire, aussi rapides qu'un clin d'oeil.
Dans le temps de la gaieté, personne ne remarquera que son destin a discrètement tourné les rouages.»Inventaire :
MapEXP : 0/0MVT : 99RES : 99DEF : 99MAG : 99ATQ : 99HP : 999Emploi / loisirs : Déesse suprême du mondeâge du perso : 9 999 ansMagie ou Emblème : LumièreLocalisation : ElysiaIcone :
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