Sehrazad Borgia
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- Royaume du Pharaon
- Partenaire : NameNiveau : LV 1 Shuriken (VIT)Citation : Hello Une citation de votre choix. Utiliser BBCode pour éditerInventaire : Potion +10PvsEXP : 25/200MVT : 4RES : 6DEF : 3MAG : 11ATQ : 8HP : 25Emploi / loisirs : Tisseuse de linâge du perso : 19 ansMagie ou Emblème : LumièreLocalisation : Royaume du PharaonIcone :Messages : 43Gold : 538
Zeng Min
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Il a aperçu la queue du serpent, pendre depuis le sac d’Alvaro.
Aurait-il été plus censé de l'y laisser ? D'attendre que le garde réalise de lui-même, quelle créature s'était réfugiée dans ses changes, probablement attiré par l'ombre de ce refuge inespéré ? Ah, Gobelin ne portait guère en son coeur ces animaux, mais peut-être avait-il plus de considération pour l'homme que la bête (à moins que ce ne soit l'inverse ?). Vif et discret, sa main avait empoigné la queue de l'animal pour l'arracher du sac.
Le serpent, pris par surprise, eut le réflexe de se dresser dans un crachement menaçant, mais Gobelin avait fermé son autre main sur son crâne pour le maintenir fermement. Sehrazad et Alvaro avaient seulement vu alors le Gobelin avec son étrange trophée dans les bras. Et l'imbécile, au lieu de s'en vanter, ne trouva pas plus intelligent que dresser victorieusement l'animal. La réaction du garde ne s'était pas faite attendre, et le Gobelin, hilare, s'était amusé à lui courir après avec le pauvre reptile, jusqu'à trouver un bois où l'abandonner. Gobelin n'avait pas vraiment pris le risque de le déposer : il l'avait fait tournoyer la queue pour le lancer plus loin. Puis avait agité la main pour le saluer, jusqu'à reprendre sa marche en gloussant.
Son sauvetage dissimulé sous couvert d'une blague de mauvais goût, Gobelin n'en avait que faire, ne fallait-il point préserver la réputation ambiguë des Lanternes Vertes ? Assis à même le sol, les épaules frêles du Gobelin sont abrités sous une pelisse épaisse, la fourrure rapiécée et éliminée d'un sanglier. Sous ses longs cheveux noirs huileux, attachés en chignon légèrement défait, ses yeux verts se lèvent jusqu’à Sehrazad au son de sa toux. Sa tête penche doucement sur le côté et Gobelin se redresse. Retirant sa fourrure, il s'accroupit près de la dame et dépose délicatement la fourrure à ses côtés.
_ Prenez, prenez ! Gobelin n'a pas si froid, il y est habitué ! Couvrez, la douce âme, qu'elle n'attrape aucun mal… Gobelin va faire ! Une tisane chaude avec du thym ! C'est bon pour la gorge !
D'un bond, Gobelin s'anime autour du feu. Récupère dans ses affaires une casserole bosselée par les voyages, l'emplit de sa gourde, fouille dans sa poche jusqu'à en sortir une poignée d'herbes desséchées. Dans un coassement, les déverse dans l'eau frétillante puis s'arme d'une cuillère en bois, pour en agiter le contenu.
Les ombres dansantes sur son faciès, accentuent les défauts de son large front bosselé, de son grand nez osseux, des joues creusées. Lueurs lugubres, au fond des pupilles, la créature sort sa langue parfois, la coince entre ses dents, ou gazouille en bringuebalant la tête.
_ Ne remerciez pas Gobelin ! Il est heureux, heureux, de voyager en si bonne compagnie, et en plus, il sera payé à la fin ! Que demander de mieux, pour un tout petit Gobelin ? Un banquet, chez les Nyugard !
Gobelin rit et secoue la tête.
_ Mais un vulgaire Gobelin ne sera jamais convié à leur grande table. Allez-vous visiter toutes les familles du Domaine ?
S'enquit-il, portant à ses lèvres, une cuillère avant d'hocher la tête. Il récupère dans ses bagages, quelques tasses qu'il remplit, avant de leur donner, puis s'accroupir devant le feu, sa tasse entre ses longs doigts. Les Lanternes Vertes ont déjà offert plus d'une fois leurs services à la famille Borgia - et les mercenaires ne les ont pas toujours faits payer. Pour des missions d'escorte ou de protection.
Lazur est le bras droit de Gobelin. Un homme silencieux, posé, d'un calme olympien, aux cheveux et au visage dissimulés d'un turban blanc. Sous le tissu, un nez absent, des traits, déformés, un lépreux. Son village avait été contaminé, les survivants n'étaient qu'une poignée et Sehrazad l'avait soigné… S'en souvenait-elle ? Lui, en tous cas, ne l'avait jamais oubliée. Bien qu'il n'ose pas réellement se présenter à elle, il s'incline toujours lorsqu'il la voit et c'est grâce à lui, que Gobelin a décidé de proposer son aide aux Borgia.
Alvaro… N'a-t-il pas un lien avec Lannah ? Gobelin ne lui a pas encore dit, qu'il l'a rencontrée elle aussi. Un soir, alors que des brigands allaient s'en prendre à du bétail. Elle seule s'est interposée, face à tous ces hommes armées. Sans son intervention, il n'aurait pas donné cher de sa peau : la pauvre fille avait osé faire face à des types impitoyables. Gobelin leur avait infligés la frousse de leur vie. Il espérait que cela suffirait à les convaincre de ne plus s'approcher d'elle. L'homme est grand, massif, observant parfois d'un mauvais oeil le Gobelin, et la créature, en réponse, s'écrase sous son autorité, répond d'un sourire innocent - qui le fait paraître plus coupable qu'autre chose.
Sous ses yeux mi-clos, d'ailleurs, les lippes s'étirent en un rictus amusé.
_ Pour des gens du Royaume, vous avez déjà bien résisté ! Mais il faudra bien plus, pour endurer le froid, le gel, la neige ! Meilleures chaussures, pour éviter les brûlures, de bons gants, pour éviter les gerçures ! Voudriez vous, chasser, pour récupérer peaux, chairs et fourrures ? A moins que vous n'ayez pensé à prendre déjà, de quoi affronter le climat… Mais Gobelin vous avertit : même les nuits les plus froides du Royaume, ne sont rien celles à du domaine ! L'on dit, que les plus petits animaux gèlent sur place, le sang dans leur corps, figé… Et qu'à la venue du printemps, ils reprennent vie ! Mais les Hommes, O les Hommes, ce n'est pas ce qu'il se passe…
Souffle Gobelin. Les yeux sombres, sous ses longs cils, sourire qui s'étire, comme par cruauté, comme par, douleur, d'une peine qu'il étouffe d'un gloussement sans joie, alors qu'il se cure l'oreille de son petit doigt.
_ Alors prenez garde. Préparer bouillotte à l'aide des vessies ou des entrailles, plusieurs couches de vêtements, léger, léger, puis lourd, pour préserver, la chaleur, tous les jours, surveiller les doigts et les orteils, surveiller, les blessures, les protéger, de baumes…
Murmure-t-il, comme pour lui-même, avant d'observer ce qu'il a récupéré sur son index, puis s'essuyer la main sur son kimono.
_ Il reste…
Gobelin lève les yeux vers le ciel, affiche une moue de réflexion, compte sur ses doigts.
_ 3 à 4 jours, répond-t-il, bien qu'il ait 5 doigts de dressés, Si nous marchons toujours à ce pas.
A la remarque sur le serpent, le visage de la créature se fend de part et d'autre, d'un sourire radieux. Un ricanement ébranle son larynx, alors que, lascif et lugubre, il bat des cils.
_ C'était nécessaire, oui, oui, pourquoi les craint-il, un serpent, c’est juste une grosse nouille ! Vous ne touchez pas de nouilles, Alvaro ?
Demande-t-il avec vulgarité, les babines retroussées dans un rictus cruel. Les yeux luisants, il agite l’index sur un ton moralisateur, appuyant sa tête contre son poing.
_ Vous devriez faire la cuisine plus souvent ! Croyez-moi, c’est un vrai atout charme pour ces demoiselles…
Comme s’il était marié ! Gobelin s’esclaffe.
_ Veuillez pardonner à Gobelin, il est taquin… Mais Sehrazad, douce dame aux mains de lumière, n'avez vous point ri ? Cela fait partie des souvenirs, de ce voyage mémorable ! Les grandes neiges, les aurores boréales et Alvaro qui s'époumone ! Vous avez de la voix, mon ami, avez vous déjà pensé à faire de l'opéra ?
Roucoule-t-il en battant des paupières.
Aurait-il été plus censé de l'y laisser ? D'attendre que le garde réalise de lui-même, quelle créature s'était réfugiée dans ses changes, probablement attiré par l'ombre de ce refuge inespéré ? Ah, Gobelin ne portait guère en son coeur ces animaux, mais peut-être avait-il plus de considération pour l'homme que la bête (à moins que ce ne soit l'inverse ?). Vif et discret, sa main avait empoigné la queue de l'animal pour l'arracher du sac.
Le serpent, pris par surprise, eut le réflexe de se dresser dans un crachement menaçant, mais Gobelin avait fermé son autre main sur son crâne pour le maintenir fermement. Sehrazad et Alvaro avaient seulement vu alors le Gobelin avec son étrange trophée dans les bras. Et l'imbécile, au lieu de s'en vanter, ne trouva pas plus intelligent que dresser victorieusement l'animal. La réaction du garde ne s'était pas faite attendre, et le Gobelin, hilare, s'était amusé à lui courir après avec le pauvre reptile, jusqu'à trouver un bois où l'abandonner. Gobelin n'avait pas vraiment pris le risque de le déposer : il l'avait fait tournoyer la queue pour le lancer plus loin. Puis avait agité la main pour le saluer, jusqu'à reprendre sa marche en gloussant.
Son sauvetage dissimulé sous couvert d'une blague de mauvais goût, Gobelin n'en avait que faire, ne fallait-il point préserver la réputation ambiguë des Lanternes Vertes ? Assis à même le sol, les épaules frêles du Gobelin sont abrités sous une pelisse épaisse, la fourrure rapiécée et éliminée d'un sanglier. Sous ses longs cheveux noirs huileux, attachés en chignon légèrement défait, ses yeux verts se lèvent jusqu’à Sehrazad au son de sa toux. Sa tête penche doucement sur le côté et Gobelin se redresse. Retirant sa fourrure, il s'accroupit près de la dame et dépose délicatement la fourrure à ses côtés.
_ Prenez, prenez ! Gobelin n'a pas si froid, il y est habitué ! Couvrez, la douce âme, qu'elle n'attrape aucun mal… Gobelin va faire ! Une tisane chaude avec du thym ! C'est bon pour la gorge !
D'un bond, Gobelin s'anime autour du feu. Récupère dans ses affaires une casserole bosselée par les voyages, l'emplit de sa gourde, fouille dans sa poche jusqu'à en sortir une poignée d'herbes desséchées. Dans un coassement, les déverse dans l'eau frétillante puis s'arme d'une cuillère en bois, pour en agiter le contenu.
Les ombres dansantes sur son faciès, accentuent les défauts de son large front bosselé, de son grand nez osseux, des joues creusées. Lueurs lugubres, au fond des pupilles, la créature sort sa langue parfois, la coince entre ses dents, ou gazouille en bringuebalant la tête.
_ Ne remerciez pas Gobelin ! Il est heureux, heureux, de voyager en si bonne compagnie, et en plus, il sera payé à la fin ! Que demander de mieux, pour un tout petit Gobelin ? Un banquet, chez les Nyugard !
Gobelin rit et secoue la tête.
_ Mais un vulgaire Gobelin ne sera jamais convié à leur grande table. Allez-vous visiter toutes les familles du Domaine ?
S'enquit-il, portant à ses lèvres, une cuillère avant d'hocher la tête. Il récupère dans ses bagages, quelques tasses qu'il remplit, avant de leur donner, puis s'accroupir devant le feu, sa tasse entre ses longs doigts. Les Lanternes Vertes ont déjà offert plus d'une fois leurs services à la famille Borgia - et les mercenaires ne les ont pas toujours faits payer. Pour des missions d'escorte ou de protection.
Lazur est le bras droit de Gobelin. Un homme silencieux, posé, d'un calme olympien, aux cheveux et au visage dissimulés d'un turban blanc. Sous le tissu, un nez absent, des traits, déformés, un lépreux. Son village avait été contaminé, les survivants n'étaient qu'une poignée et Sehrazad l'avait soigné… S'en souvenait-elle ? Lui, en tous cas, ne l'avait jamais oubliée. Bien qu'il n'ose pas réellement se présenter à elle, il s'incline toujours lorsqu'il la voit et c'est grâce à lui, que Gobelin a décidé de proposer son aide aux Borgia.
Alvaro… N'a-t-il pas un lien avec Lannah ? Gobelin ne lui a pas encore dit, qu'il l'a rencontrée elle aussi. Un soir, alors que des brigands allaient s'en prendre à du bétail. Elle seule s'est interposée, face à tous ces hommes armées. Sans son intervention, il n'aurait pas donné cher de sa peau : la pauvre fille avait osé faire face à des types impitoyables. Gobelin leur avait infligés la frousse de leur vie. Il espérait que cela suffirait à les convaincre de ne plus s'approcher d'elle. L'homme est grand, massif, observant parfois d'un mauvais oeil le Gobelin, et la créature, en réponse, s'écrase sous son autorité, répond d'un sourire innocent - qui le fait paraître plus coupable qu'autre chose.
Sous ses yeux mi-clos, d'ailleurs, les lippes s'étirent en un rictus amusé.
_ Pour des gens du Royaume, vous avez déjà bien résisté ! Mais il faudra bien plus, pour endurer le froid, le gel, la neige ! Meilleures chaussures, pour éviter les brûlures, de bons gants, pour éviter les gerçures ! Voudriez vous, chasser, pour récupérer peaux, chairs et fourrures ? A moins que vous n'ayez pensé à prendre déjà, de quoi affronter le climat… Mais Gobelin vous avertit : même les nuits les plus froides du Royaume, ne sont rien celles à du domaine ! L'on dit, que les plus petits animaux gèlent sur place, le sang dans leur corps, figé… Et qu'à la venue du printemps, ils reprennent vie ! Mais les Hommes, O les Hommes, ce n'est pas ce qu'il se passe…
Souffle Gobelin. Les yeux sombres, sous ses longs cils, sourire qui s'étire, comme par cruauté, comme par, douleur, d'une peine qu'il étouffe d'un gloussement sans joie, alors qu'il se cure l'oreille de son petit doigt.
_ Alors prenez garde. Préparer bouillotte à l'aide des vessies ou des entrailles, plusieurs couches de vêtements, léger, léger, puis lourd, pour préserver, la chaleur, tous les jours, surveiller les doigts et les orteils, surveiller, les blessures, les protéger, de baumes…
Murmure-t-il, comme pour lui-même, avant d'observer ce qu'il a récupéré sur son index, puis s'essuyer la main sur son kimono.
_ Il reste…
Gobelin lève les yeux vers le ciel, affiche une moue de réflexion, compte sur ses doigts.
_ 3 à 4 jours, répond-t-il, bien qu'il ait 5 doigts de dressés, Si nous marchons toujours à ce pas.
A la remarque sur le serpent, le visage de la créature se fend de part et d'autre, d'un sourire radieux. Un ricanement ébranle son larynx, alors que, lascif et lugubre, il bat des cils.
_ C'était nécessaire, oui, oui, pourquoi les craint-il, un serpent, c’est juste une grosse nouille ! Vous ne touchez pas de nouilles, Alvaro ?
Demande-t-il avec vulgarité, les babines retroussées dans un rictus cruel. Les yeux luisants, il agite l’index sur un ton moralisateur, appuyant sa tête contre son poing.
_ Vous devriez faire la cuisine plus souvent ! Croyez-moi, c’est un vrai atout charme pour ces demoiselles…
Comme s’il était marié ! Gobelin s’esclaffe.
_ Veuillez pardonner à Gobelin, il est taquin… Mais Sehrazad, douce dame aux mains de lumière, n'avez vous point ri ? Cela fait partie des souvenirs, de ce voyage mémorable ! Les grandes neiges, les aurores boréales et Alvaro qui s'époumone ! Vous avez de la voix, mon ami, avez vous déjà pensé à faire de l'opéra ?
Roucoule-t-il en battant des paupières.
- Empire Nuhoko
- Partenaire : AlvaroNiveau : LV 3 LANCE (TEC)Citation : "I'm not dead, I'm just ugly as hell"Inventaire :Potion +10PvsGâteau d'anniversaire : rend tous les pvsAnti-gel : permet de soigner quelqu'un du statut gelEXP : 96/300MVT : 4RES : 5DEF : 6MAG : 8ATQ : 11HP : 30Emploi / loisirs : Mercenaire (Chef des Lanternes Vertes)âge du perso : 37Magie ou Emblème : Magie de feuLocalisation : NuhokoIcone :Messages : 195Gold : 1452
Alvaro Domingo
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Voyage au coeur des terres enneigées
Assis à côté de celle qu'il protégeait depuis des années maintenant, Alvaro était perdu dans ses pensées. Il contemplait le feu qui brûlait, crépitait doucement devant lui. La lettre donné pour Lannah avait-elle atteint sa destination ? L'avait-elle lu ? Ou ne voulait-elle plus lui parler du tout ? Ça l'inquiétait bien plus que tout ce qui pouvait se passer dans ce voyage. Et si jamais il ne pouvait obtenir le pardon de son soleil ? Ne plus voir ce sourire si chaleureux qui faisait de lui quelqu'un de si heureux ? De vivant ? Le guerrier baissa finalement les paupières pour fermer un instant les yeux. Une prière muette pour la protection de sa chère Lannah passa dans son esprit. Faites qu'elle aille bien. Lorsqu'il reporta son attention sur sa protégée, ses lèvres s'étirèrent en un doux sourire. Pauvre créature que voilà. Elle semblait frigorifier et il ne put retenir une grimace en voyant la fourrure miteuse que lui proposait leur compagnon de route. Alvaro se releva rapidement pour poser son manteau à lui sur les épaules de Sehrazad. Pas de vieille pelure sur une personne aussi parfaite !
« Lady Sehrazad mérite mieux qu'une fourrure couverte de puces. » Il claqua sa langue sur son palais avant de lui tendre un sac en cuir contenant de la nourriture. Le protecteur s'attela finalement à réchauffer le repas qu'il avait emporté pour pouvoir nourrir dignement la jeune femme malgré la glace et la neige qui recouvrait tout ici. C'était terrible, les terres du Pharaon lui manquaient déjà. Il faisait trop froid, la compagnie de Gobelin n'était clairement pas la plus agréable du monde et il avait une trouille bleue que sa petite soeur de coeur tombe malade. Encore plus quoi. Il se retenait très fort de faire des réflexion à ce petit être très désagréable qui semblait... Beaucoup trop énergique pour être honnête. Alvaro n'avait aucune confiance en quelqu'un qui le poursuivait avec un SERPENT ! CES CRÉATURES DE LA CALAMITÉ ! Il grogna un peu en tendant la gamelle en métal très bien entretenue vers la Borgia, cuillère placée dedans. Non mais.
Il servit quand même une portion au petit truc chiant et il lui tendit. « Nous ne sommes pas en voyage officiel, pas la peine d'aller voir les familles du Domaine. Ça ne sert à rien d'attirer l'attention sur Lady Sehrazad. » Pour que ça parle encore plus au sujet de la pauvre jeune fille ? Non, Alvaro ne le tolérerait pas. Il plissa le nez en commençant à manger après avoir posé la tasse cabossée à côté de lui. Berk, ça avait l'air immonde. Et qui lui disait que ce truc n'avait pas empoisonné son eau, là ? Quelle idée de merde d'avoir pris Gobelin comme guide. Dire que Sehrazad avait insisté et qu'il ne pouvait rien lui refuser. La preuve, il était là même s'il sentait que ce voyage serait potentiellement plus destructeur que bénéfique pour sa douce amie. Il poussa un léger soupire en savourant son maigre repas. « Nous avons des bouillottes et d'autres vêtements chauds dans mon sac. » Que croyait ce petit vermicelle ? Que le garde de la lady ne savait pas monter une expédition digne de ce nom ?
Il avait même prévu de quoi réchauffer la jeune femme pour les dix années à venir s'il fallait. L'homme termina son repas rapidement et il nettoya avec attention ses boites pour les ranger dans son sac lourd mais nécessaire. Hors de question de faire porter quoi que ce soit à Sehrazad. Elle était assez fragile et inquiète comme ça...... QUOI ? POURQUOI ON PARLAIT DE SA NOUILLE ?? Il cligna plusieurs fois des yeux avant de comprendre et de grogner. Mais bordel pourquoi CE TRUC était là ? « Comme si vous y connaissiez quoi que ce soit en gente féminine. Vous me faites rire. » Non. Il ne riait pas DU TOUT. Il n'avait pas DU TOUT envie de rire. Il avait très fort envie d'étrangler Gobelin et ça se voyait sur les jointures de ses mains qui se crispaient sur son sac. Il marmonna dans sa barbe inexistante. « Comme si c'était un souvenir que j'avais envie de garder. » Alvaro ne prit même pas la peine de répondre concernant l'opéra. Vraiment, dès que la mission serait terminée, Gobelin aurait le droit au plus magnifique des coups de pieds au cul.
« Lady Sehrazad mérite mieux qu'une fourrure couverte de puces. » Il claqua sa langue sur son palais avant de lui tendre un sac en cuir contenant de la nourriture. Le protecteur s'attela finalement à réchauffer le repas qu'il avait emporté pour pouvoir nourrir dignement la jeune femme malgré la glace et la neige qui recouvrait tout ici. C'était terrible, les terres du Pharaon lui manquaient déjà. Il faisait trop froid, la compagnie de Gobelin n'était clairement pas la plus agréable du monde et il avait une trouille bleue que sa petite soeur de coeur tombe malade. Encore plus quoi. Il se retenait très fort de faire des réflexion à ce petit être très désagréable qui semblait... Beaucoup trop énergique pour être honnête. Alvaro n'avait aucune confiance en quelqu'un qui le poursuivait avec un SERPENT ! CES CRÉATURES DE LA CALAMITÉ ! Il grogna un peu en tendant la gamelle en métal très bien entretenue vers la Borgia, cuillère placée dedans. Non mais.
Il servit quand même une portion au petit truc chiant et il lui tendit. « Nous ne sommes pas en voyage officiel, pas la peine d'aller voir les familles du Domaine. Ça ne sert à rien d'attirer l'attention sur Lady Sehrazad. » Pour que ça parle encore plus au sujet de la pauvre jeune fille ? Non, Alvaro ne le tolérerait pas. Il plissa le nez en commençant à manger après avoir posé la tasse cabossée à côté de lui. Berk, ça avait l'air immonde. Et qui lui disait que ce truc n'avait pas empoisonné son eau, là ? Quelle idée de merde d'avoir pris Gobelin comme guide. Dire que Sehrazad avait insisté et qu'il ne pouvait rien lui refuser. La preuve, il était là même s'il sentait que ce voyage serait potentiellement plus destructeur que bénéfique pour sa douce amie. Il poussa un léger soupire en savourant son maigre repas. « Nous avons des bouillottes et d'autres vêtements chauds dans mon sac. » Que croyait ce petit vermicelle ? Que le garde de la lady ne savait pas monter une expédition digne de ce nom ?
Il avait même prévu de quoi réchauffer la jeune femme pour les dix années à venir s'il fallait. L'homme termina son repas rapidement et il nettoya avec attention ses boites pour les ranger dans son sac lourd mais nécessaire. Hors de question de faire porter quoi que ce soit à Sehrazad. Elle était assez fragile et inquiète comme ça...... QUOI ? POURQUOI ON PARLAIT DE SA NOUILLE ?? Il cligna plusieurs fois des yeux avant de comprendre et de grogner. Mais bordel pourquoi CE TRUC était là ? « Comme si vous y connaissiez quoi que ce soit en gente féminine. Vous me faites rire. » Non. Il ne riait pas DU TOUT. Il n'avait pas DU TOUT envie de rire. Il avait très fort envie d'étrangler Gobelin et ça se voyait sur les jointures de ses mains qui se crispaient sur son sac. Il marmonna dans sa barbe inexistante. « Comme si c'était un souvenir que j'avais envie de garder. » Alvaro ne prit même pas la peine de répondre concernant l'opéra. Vraiment, dès que la mission serait terminée, Gobelin aurait le droit au plus magnifique des coups de pieds au cul.
- Royaume du Pharaon
- Partenaire : Zeng MinNiveau : LV 1 EPEE (VIT)Citation : Hello Une citation de votre choix. Utiliser BBCode pour éditerInventaire : Potion +10PvsEXP : 0/200MVT : 4RES : 4DEF : 6MAG : 9ATQ : 11HP : 27Emploi / loisirs : Garde du corps des Borgiaâge du perso : 26 ansMagie ou Emblème : Magie du VentLocalisation : PharaosIcone :Messages : 28Gold : 134
Sehrazad Borgia
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- Royaume du Pharaon
- Partenaire : NameNiveau : LV 1 Shuriken (VIT)Citation : Hello Une citation de votre choix. Utiliser BBCode pour éditerInventaire : Potion +10PvsEXP : 25/200MVT : 4RES : 6DEF : 3MAG : 11ATQ : 8HP : 25Emploi / loisirs : Tisseuse de linâge du perso : 19 ansMagie ou Emblème : LumièreLocalisation : Royaume du PharaonIcone :Messages : 43Gold : 538
Zeng Min
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Face à la remarque sur sa fourrure, le geste de Gobelin se suspend ; clignant des paupières, il se penche pour renifler sa propre pelisse à plusieurs reprises, avant de protester.
_ Elle pue peut-être, mais Gobelin garantit qu’il n’y a pas de puces dessus ! Puis bon, hein, si c’est le prix à payer pour avoir chaud, Gobelin est prêt à ce sacrifice !
Qu’il ricane, se réfugiant sous son propre vêtement. Ses yeux verts se sont plantés dans ceux d’Alvaro alors que le sourire de la créature s’étire en un rictus presque menaçant, ses pupilles luisant dans la pénombre de ses cheveux noirs. Face au mépris, Gobelin répond par habitude, avec une insolence malicieuse… Et son attitude se fait progressivement plus langoureuse, quand sa tête se repose contre son poing, que ses paupières battent à plusieurs reprises sans lâcher Alvaro du regard.
_ Si ma fourrure vous dérange, venez donc me l’enlever ! Olala ! Que vos bras puissants m’étreignent, que votre chaleur m’emporte, Ô Homme du Désert !
Qu’il fait théâtralement, portant une main à son front en faisant mine de s’évanouir… Avant d’éclater de rire, hilare de sa propre malice.
_ Ah ! Je m’y connais probablement bien mieux en gente féminine que vous ! Voyez ! N’est-ce point moi que Dame Sehrazad est venue chercher ? Il faut croire qu’elle me voit des qualités que vous n’arrivez pas encore à voir…
Qu’il minaude, avant de tourner les yeux vers la jeune femme pour lui sourire avec tendresse.
_ Gobelin prendra soin de ce grognon, ne vous inquiétez pas. Lui comme vous, êtes sous la protection des Lanternes Vertes : Gobelin se porte garant de votre sécurité.
Sa main se pose sur son cœur, alors qu’il courbe docilement l’échine, avant de se redresser.
_ Oh… la forêt de fryse ? Répète Gobelin en battant des paupières, Bien, Gobelin vous y conduira.
D’un geste vif, il a soudain bondi, pour s’accroupir près de la demoiselle. Il lève la main pour dissimuler ses lèvres et chuchoter sur le ton de la connivence.
_ Mais savez-vous que le Domaine, n’a point les meilleurs soigneurs ? L’Empire de Nuhoko ! De nombreux mages, de nombreux, guérisseurs ! L’Impératrice Eun-Ji a un cœur, aussi bon et fertile que la Terre, Gobelin l’a rencontrée, Elle lui a offert, bonté, accueil, générosité ! Gobelin est sûr, qu’Elle serait prête à vous aider !
Une confession qu’Alvaro peut entendre – à croire que Gobelin veut plutôt, ne pas se faire entendre d’autres, bien qu’ils soient complètement seuls en ces lieux.
_ Enfin ! Ne vous inquiétez pas ! Gobelin est né, dans une forêt, il les connaît bien ! Les arbres, les feuilles, ici, il y a juste, un peu plus de gel, d’ours et heureusement, pas beaucoup de serpents… C’est probablement ce pourquoi vous avez préféré faire vos recherches ici, Gobelin comprend !
Assure-t-il, se dressant d’un bond pour saisir sa gamelle avant d’en boire une large gorgée. Il s’essuie les lèvres d’un revers de manche et rit à la tête dubitative d’Alvaro.
_ Allons, allons, ne sentez vous point, l’eucalyptus ? Un peu de thym et voilà, un bon remède contre le froid !
Il glisse un index devant ses lèvres en leur offrant un clin d’œil.
_ Voilà une recette, de ma-mie ! Ma-mie, ma-mie, Gobelin ne t’a pas oubliée et n’a pas oublié, tes conseils, quelques feuilles, d’eucalyptus, une petite poignée, de thym, infuser, 10 min, servir chaud, c’est bon, pour résister à la rigueur de l’hiver…
Qu’il roucoule dans sa barbe inexistante, avant de leur adresser un regard du coin des paupières.
_ Vous êtes donc venus ici, sans avertir les Maîtres et Maîtresses de ces Terres ? Ne craignez-vous point, de soulever réticences et suspicions ? Si vous souhaitez la Discrétion, Gobelin peut faire en sorte, que personne ne nous voit, personne ne nous trouve…
Qu’il minaude, les observant tour à tour avec attention, avant de plisser tendrement les paupières.
_ Mais ! Qui sait… L’on dit que les Ducs et Duchesses du Domaine sont très accueillants envers les étrangers. Une personne de votre rang, Dame Sehrazad, serait accueillie avec respect. Il n’y aurait aucun intérêt, à se froisser avec le Royaume du Soleil, au contraire… ! Peut-être même, serait-ce une manière de nouer du lien entre ces deux contrées ? Et puis, Gobelin n’est pas vraiment sûr de leur réaction, s’ils nous trouvent sur leurs territoires, ils risquent de s’interroger, de se poser des questions, d’exiger des justifications… S’annoncer et se présenter vous éviterait probablement, quelques conflits, incompréhensions ou quiproquos gênants, aussi accueillants soient-ils, ils n’en restent pas moins protecteurs de leurs terres. Quant à Gobelin, c’est différent, on a l’habitude de le voir traîner, c’est un mercenaire après tout !
_ Elle pue peut-être, mais Gobelin garantit qu’il n’y a pas de puces dessus ! Puis bon, hein, si c’est le prix à payer pour avoir chaud, Gobelin est prêt à ce sacrifice !
Qu’il ricane, se réfugiant sous son propre vêtement. Ses yeux verts se sont plantés dans ceux d’Alvaro alors que le sourire de la créature s’étire en un rictus presque menaçant, ses pupilles luisant dans la pénombre de ses cheveux noirs. Face au mépris, Gobelin répond par habitude, avec une insolence malicieuse… Et son attitude se fait progressivement plus langoureuse, quand sa tête se repose contre son poing, que ses paupières battent à plusieurs reprises sans lâcher Alvaro du regard.
_ Si ma fourrure vous dérange, venez donc me l’enlever ! Olala ! Que vos bras puissants m’étreignent, que votre chaleur m’emporte, Ô Homme du Désert !
Qu’il fait théâtralement, portant une main à son front en faisant mine de s’évanouir… Avant d’éclater de rire, hilare de sa propre malice.
_ Ah ! Je m’y connais probablement bien mieux en gente féminine que vous ! Voyez ! N’est-ce point moi que Dame Sehrazad est venue chercher ? Il faut croire qu’elle me voit des qualités que vous n’arrivez pas encore à voir…
Qu’il minaude, avant de tourner les yeux vers la jeune femme pour lui sourire avec tendresse.
_ Gobelin prendra soin de ce grognon, ne vous inquiétez pas. Lui comme vous, êtes sous la protection des Lanternes Vertes : Gobelin se porte garant de votre sécurité.
Sa main se pose sur son cœur, alors qu’il courbe docilement l’échine, avant de se redresser.
_ Oh… la forêt de fryse ? Répète Gobelin en battant des paupières, Bien, Gobelin vous y conduira.
D’un geste vif, il a soudain bondi, pour s’accroupir près de la demoiselle. Il lève la main pour dissimuler ses lèvres et chuchoter sur le ton de la connivence.
_ Mais savez-vous que le Domaine, n’a point les meilleurs soigneurs ? L’Empire de Nuhoko ! De nombreux mages, de nombreux, guérisseurs ! L’Impératrice Eun-Ji a un cœur, aussi bon et fertile que la Terre, Gobelin l’a rencontrée, Elle lui a offert, bonté, accueil, générosité ! Gobelin est sûr, qu’Elle serait prête à vous aider !
Une confession qu’Alvaro peut entendre – à croire que Gobelin veut plutôt, ne pas se faire entendre d’autres, bien qu’ils soient complètement seuls en ces lieux.
_ Enfin ! Ne vous inquiétez pas ! Gobelin est né, dans une forêt, il les connaît bien ! Les arbres, les feuilles, ici, il y a juste, un peu plus de gel, d’ours et heureusement, pas beaucoup de serpents… C’est probablement ce pourquoi vous avez préféré faire vos recherches ici, Gobelin comprend !
Assure-t-il, se dressant d’un bond pour saisir sa gamelle avant d’en boire une large gorgée. Il s’essuie les lèvres d’un revers de manche et rit à la tête dubitative d’Alvaro.
_ Allons, allons, ne sentez vous point, l’eucalyptus ? Un peu de thym et voilà, un bon remède contre le froid !
Il glisse un index devant ses lèvres en leur offrant un clin d’œil.
_ Voilà une recette, de ma-mie ! Ma-mie, ma-mie, Gobelin ne t’a pas oubliée et n’a pas oublié, tes conseils, quelques feuilles, d’eucalyptus, une petite poignée, de thym, infuser, 10 min, servir chaud, c’est bon, pour résister à la rigueur de l’hiver…
Qu’il roucoule dans sa barbe inexistante, avant de leur adresser un regard du coin des paupières.
_ Vous êtes donc venus ici, sans avertir les Maîtres et Maîtresses de ces Terres ? Ne craignez-vous point, de soulever réticences et suspicions ? Si vous souhaitez la Discrétion, Gobelin peut faire en sorte, que personne ne nous voit, personne ne nous trouve…
Qu’il minaude, les observant tour à tour avec attention, avant de plisser tendrement les paupières.
_ Mais ! Qui sait… L’on dit que les Ducs et Duchesses du Domaine sont très accueillants envers les étrangers. Une personne de votre rang, Dame Sehrazad, serait accueillie avec respect. Il n’y aurait aucun intérêt, à se froisser avec le Royaume du Soleil, au contraire… ! Peut-être même, serait-ce une manière de nouer du lien entre ces deux contrées ? Et puis, Gobelin n’est pas vraiment sûr de leur réaction, s’ils nous trouvent sur leurs territoires, ils risquent de s’interroger, de se poser des questions, d’exiger des justifications… S’annoncer et se présenter vous éviterait probablement, quelques conflits, incompréhensions ou quiproquos gênants, aussi accueillants soient-ils, ils n’en restent pas moins protecteurs de leurs terres. Quant à Gobelin, c’est différent, on a l’habitude de le voir traîner, c’est un mercenaire après tout !
- Empire Nuhoko
- Partenaire : AlvaroNiveau : LV 3 LANCE (TEC)Citation : "I'm not dead, I'm just ugly as hell"Inventaire :Potion +10PvsGâteau d'anniversaire : rend tous les pvsAnti-gel : permet de soigner quelqu'un du statut gelEXP : 96/300MVT : 4RES : 5DEF : 6MAG : 8ATQ : 11HP : 30Emploi / loisirs : Mercenaire (Chef des Lanternes Vertes)âge du perso : 37Magie ou Emblème : Magie de feuLocalisation : NuhokoIcone :Messages : 195Gold : 1452
Alvaro Domingo
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Voyage au coeur des terres enneigées
Ses yeux se posèrent finalement sur le brasier ardant qui flambait devant le groupe si mal assorti. Ah, un endroit chaud, oui, ce serait appréciable. Mais... Mais en même temps, il se devait de protéger Sehrazad et il avait franchement peur qu'on leur pose la question de pourquoi Dame Borgia était en présence d'un petit truc vert moche et sale ainsi que de son seul garde du corps dans le domaine Nyugard. Que répondre à cela ? Certainement pas la vérité. Ce serait impossible. Trop dangereux. Ah, au moins le vermicelle n'avait pas de puce, c'était une bonne chose puisque ce genre de bestioles... C'était une vraie plaie. Le jeune homme haussa simplement les bras avant de.... ROUGIR à la proposition de Gobelin ! MAIS PARDON !!! ARG ! « Comment ça ? Mais t'es vraiment trop bizarre toi ! » Ah le tutoiement sous couvert de gêne... La voix légèrement plus aigüe... Il était terriblement mal à l'aise. Arg. Il se mordit la lèvre avant de soupirer un peu en entendant la chose bizarre rire.
Même son rire était... Non bref. Soyons poli même dans la pensée ! Alvaro soupira encore avant de hausser les épaules. « Ne vous occupez pas de ma sécurité. Seule dame Borgia... Sehrazad est importante. » Ah, ça lui faisait bizarre d'appeler sa protégée par son prénom. Bien sûr, ils n'étaient pas dans un lieu officiel mais il respectait tellement la jeune femme qu'il avait presque l'impression de l'insulter en prononçant son prénom. Alvaro se réinstalla correctement avant de sortir une carte en papier mal faite de sa poche. C'était tout ce qu'il avait trouvé en partant un peu en catastrophe. Elle était même pleine d'erreurs et le Domingo le savait mais ça le rassurait un peu...... ..... ... PARDON ? COMMENT ÇA LE VERMICELLE AVAIT ÉTÉ ACCUEILLI PAR L'IMPÉRATRICE ??? Il resta con comme deux ronds de flancs à fixer le parchemin usé et un peu déchiré. Mais ? Non, il devait mentir ! Quand même. L'impératrice ne pouvait pas s'être occupé de lui ? Non. Mais ce type ne lui donnait pas l'impression d'être un menteur. Ah. C'était vraiment perturbant.
« Pourquoi je ne suis pas étonné que vous soyez né dans une forêt... » C'était un léger marmonnement, à peine audible mais très sincère. Ça se voyait. Comment pouvait-il en être autrement quand on observait Gobelin ? Mais il avait parlé avec l'Impératrice !!! Non, Alvaro ne s'en remettait pas, de cette information. Ça allait process pendant un moment. La preuve, il n'avait même pas relevé la blague avec le serpent qui était pourtant tout à fait vraie malheureusement pour lui. Il soupira et finalement, le bodygard attrapa sa part de repas pour la boire plus lentement. C'était vrai que ça réchauffait les os. Mais vraiment, comment pouvait-on vivre dans un endroit aussi froid ??? Bon, en repensant à Lief... Il se disait qu'il fallait avoir un léger pet au casque hein. Bref. Il soupira un peu avant de poser ses yeux vert sur Gobelin, n'appréciant pas du tout la menace couverte. Ou en tout cas, il le prenait comme telle. « Nous pouvons rester discrets sauf si une certaine personne désire nous trahir ? Ce voyage doit demeurer secret pour justement éviter la suspicion des familles. »
Ah, c'était vraiment une idée idiote, dame Borgia, d'avoir pris ce farfadet malicieux pour guide... Alvaro soupira à nouveau avant de hausser les épaules. C'était trop risqué à son goût. Il était très doué en combat mais de là à pouvoir battre une armée ? Non. Et il préférait ne pas compter sur les soit disantes aptitudes du vermicelle. Mais le dernier mot revenait toujours à Sehrazad. Elle était décisionnaire et il la suivrait même si cela devait le conduire à la mort. Il serait là, droit derrière elle pour prendre les flèches à sa place. C'était au-delà de son devoir, c'était son choix personnel. Il posa une main douce sur l'épaule couverte de la jeune femme pour l'encourager d'une manière muette. Pour lui signifier qu'il serait toujours là, peu importe ce qui se passerait. Pouvait-il le comprendre, ça, le vermicelle ? Cette loyauté indéfectible envers la belle Borgia ?
Même son rire était... Non bref. Soyons poli même dans la pensée ! Alvaro soupira encore avant de hausser les épaules. « Ne vous occupez pas de ma sécurité. Seule dame Borgia... Sehrazad est importante. » Ah, ça lui faisait bizarre d'appeler sa protégée par son prénom. Bien sûr, ils n'étaient pas dans un lieu officiel mais il respectait tellement la jeune femme qu'il avait presque l'impression de l'insulter en prononçant son prénom. Alvaro se réinstalla correctement avant de sortir une carte en papier mal faite de sa poche. C'était tout ce qu'il avait trouvé en partant un peu en catastrophe. Elle était même pleine d'erreurs et le Domingo le savait mais ça le rassurait un peu...... ..... ... PARDON ? COMMENT ÇA LE VERMICELLE AVAIT ÉTÉ ACCUEILLI PAR L'IMPÉRATRICE ??? Il resta con comme deux ronds de flancs à fixer le parchemin usé et un peu déchiré. Mais ? Non, il devait mentir ! Quand même. L'impératrice ne pouvait pas s'être occupé de lui ? Non. Mais ce type ne lui donnait pas l'impression d'être un menteur. Ah. C'était vraiment perturbant.
« Pourquoi je ne suis pas étonné que vous soyez né dans une forêt... » C'était un léger marmonnement, à peine audible mais très sincère. Ça se voyait. Comment pouvait-il en être autrement quand on observait Gobelin ? Mais il avait parlé avec l'Impératrice !!! Non, Alvaro ne s'en remettait pas, de cette information. Ça allait process pendant un moment. La preuve, il n'avait même pas relevé la blague avec le serpent qui était pourtant tout à fait vraie malheureusement pour lui. Il soupira et finalement, le bodygard attrapa sa part de repas pour la boire plus lentement. C'était vrai que ça réchauffait les os. Mais vraiment, comment pouvait-on vivre dans un endroit aussi froid ??? Bon, en repensant à Lief... Il se disait qu'il fallait avoir un léger pet au casque hein. Bref. Il soupira un peu avant de poser ses yeux vert sur Gobelin, n'appréciant pas du tout la menace couverte. Ou en tout cas, il le prenait comme telle. « Nous pouvons rester discrets sauf si une certaine personne désire nous trahir ? Ce voyage doit demeurer secret pour justement éviter la suspicion des familles. »
Ah, c'était vraiment une idée idiote, dame Borgia, d'avoir pris ce farfadet malicieux pour guide... Alvaro soupira à nouveau avant de hausser les épaules. C'était trop risqué à son goût. Il était très doué en combat mais de là à pouvoir battre une armée ? Non. Et il préférait ne pas compter sur les soit disantes aptitudes du vermicelle. Mais le dernier mot revenait toujours à Sehrazad. Elle était décisionnaire et il la suivrait même si cela devait le conduire à la mort. Il serait là, droit derrière elle pour prendre les flèches à sa place. C'était au-delà de son devoir, c'était son choix personnel. Il posa une main douce sur l'épaule couverte de la jeune femme pour l'encourager d'une manière muette. Pour lui signifier qu'il serait toujours là, peu importe ce qui se passerait. Pouvait-il le comprendre, ça, le vermicelle ? Cette loyauté indéfectible envers la belle Borgia ?
- Royaume du Pharaon
- Partenaire : Zeng MinNiveau : LV 1 EPEE (VIT)Citation : Hello Une citation de votre choix. Utiliser BBCode pour éditerInventaire : Potion +10PvsEXP : 0/200MVT : 4RES : 4DEF : 6MAG : 9ATQ : 11HP : 27Emploi / loisirs : Garde du corps des Borgiaâge du perso : 26 ansMagie ou Emblème : Magie du VentLocalisation : PharaosIcone :Messages : 28Gold : 134
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